À l’orée d’un monde où tout vas si vite, où tout est si grand.
Trois artistes un peu dehors, un peu dedans, un peu fêlés, se questionnent pour trouver un support de débat, une matière portant à réflexion.
Comment sensibiliser, éveiller sans accuser ?
La photographie est leur réponse.
Mettre en scène des sujets sociétaux avec toute la poésie dont l’imaginaire requiert pour perturber tout en laissant le spectateur libre d’interpréter à sa guise ces thèmes d’actualité.
La surconsommation, la manipulation des masses et l’effet de ces dernières sur l’humain sera le noyau de cette œuvre.
Pour porter ce travail à son terme, une seule ligne de conduite: faire ensemble, à trois, à vingt, à cent et ne construire qu’avec ce qui existe déjà, de bric, de broc, de récup, de coups de pouces et d’ingéniosité.
Les trois cerveaux en ébullition ayant contaminé de leurs envies de création un beau brin de la locale population appuient sur la gâchette de l’appareil.
Ils capturent chapitre après chapitres humains dans mises en scènes, épurées, poétiques.
Ils replacent au cœur de l’arène, humains tiraillés par ces fables politiques.
Éclot de cette artistique navigation une prophétie de l’existant, le poétique reflet de nôtre temps.
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Les Hurlements de la Vache qui Prix (Series)
DESCRIPTION
AUTHOR
Pierre Win, quadripède jusqu’à l’âge de deux ans, se dresse puis met son œil dans un viseur.
Un bon moyen de comprendre et de passer du temps avec l’extra-terrestre qu’est son père.
À l’école, Pierre est dans sa tête, quand il en sort, il embarque les profs, des potes, son frère et un caméscope Hi-8 dans ses délires de vidéaste amateur.
À quinze ans, en étudiant la prise de vue en grand, moyen et plein format, il développe un goût prononcé pour l’argentique.
« Étudier la photographie et ses règles m’a permis de me les approprier pour mieux les transgresser. »
En 2014, il réalise son premier court-métrage, « À mer ». Tourné entre sa terre d’origine, la Bretagne, et la banlieue Parisienne, il y aborde le handicap, les forces et les faiblesses qui en découlent.
L’amour singulier qu’il porte à sa grand-mère réveille en lui une profonde admiration pour la femme. Celle-ci est révélée au-travers d’un grain prononcé et ses photographies sont exposées dans différentes galeries parisiennes et bretonnes.
« La photographie, le cinéma et toute autre forme d’Art n’ont pas pour objectif d’être fidèles à la réalité mais d’en construire une autre. »
Un bon moyen de comprendre et de passer du temps avec l’extra-terrestre qu’est son père.
À l’école, Pierre est dans sa tête, quand il en sort, il embarque les profs, des potes, son frère et un caméscope Hi-8 dans ses délires de vidéaste amateur.
À quinze ans, en étudiant la prise de vue en grand, moyen et plein format, il développe un goût prononcé pour l’argentique.
« Étudier la photographie et ses règles m’a permis de me les approprier pour mieux les transgresser. »
En 2014, il réalise son premier court-métrage, « À mer ». Tourné entre sa terre d’origine, la Bretagne, et la banlieue Parisienne, il y aborde le handicap, les forces et les faiblesses qui en découlent.
L’amour singulier qu’il porte à sa grand-mère réveille en lui une profonde admiration pour la femme. Celle-ci est révélée au-travers d’un grain prononcé et ses photographies sont exposées dans différentes galeries parisiennes et bretonnes.
« La photographie, le cinéma et toute autre forme d’Art n’ont pas pour objectif d’être fidèles à la réalité mais d’en construire une autre. »
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